We visited a château (according to Xavier une ruine): Villandraut. We were on our way from Les Landes up to Baugé, driving through small French towns and we concurred we should stop to scout it out. It was indeed sort of in ruins and Marguerite played the part of the damoiselle quite well. Colette hammed it up pretty well at the right moment too.
Des photos de Baugé, le pied ! Je constate que tu aimes, chère Émilie, le côté tranquille de cette petite vielle de province où le silence est roi. Cela doit bien te changer des rumeurs new-yorkaises. Cette tranquillité est agréable, elle permet de faire une pause prolongée dans une quiétude appréciable. Colette a beaucoup changé, mais elle garde ses grands yeux, si ouverts sur la vie. On dirait qu'elle emmagasine tout : as-tu remarqué combien ses regards étaient appuyés, comme s'ils scrutaient en profondeur le monde qui l'entoure. Sans doute pour l'appréhender et le faire sien. J'espère bien me trouver un jour en sa présence (ainsi que celle de Marguerite - qui a beaucoup changé elle aussi), peut-être à Baugé, ou ailleurs. Qui peut le savoir ? Paule m'a fait parvenir quelques photos faites pendant votre bref séjour dans la demeure familiale. Je complète cette collection avec celle que tu as mis sur ton blog. Bonne journée à vous tous.
Eh oui, je reviens visiter ces ruines où vous vous arrêtâtes pour permettre notamment à Marguerite de gambader au milieu des vieilles pierres. J'adore la photo où, juchée sur les épaules de son père (vraisemblablement), Colette se prête volontiers au jeu du preux chevalier, tandis que sa sœur aînée se complaît dans la tenue de la princesse.
3 comments:
That last picture makes me so happy.
Des photos de Baugé, le pied ! Je constate que tu aimes, chère Émilie, le côté tranquille de cette petite vielle de province où le silence est roi. Cela doit bien te changer des rumeurs new-yorkaises. Cette tranquillité est agréable, elle permet de faire une pause prolongée dans une quiétude appréciable.
Colette a beaucoup changé, mais elle garde ses grands yeux, si ouverts sur la vie. On dirait qu'elle emmagasine tout : as-tu remarqué combien ses regards étaient appuyés, comme s'ils scrutaient en profondeur le monde qui l'entoure. Sans doute pour l'appréhender et le faire sien. J'espère bien me trouver un jour en sa présence (ainsi que celle de Marguerite - qui a beaucoup changé elle aussi), peut-être à Baugé, ou ailleurs. Qui peut le savoir ? Paule m'a fait parvenir quelques photos faites pendant votre bref séjour dans la demeure familiale. Je complète cette collection avec celle que tu as mis sur ton blog.
Bonne journée à vous tous.
Eh oui, je reviens visiter ces ruines où vous vous arrêtâtes pour permettre notamment à Marguerite de gambader au milieu des vieilles pierres. J'adore la photo où, juchée sur les épaules de son père (vraisemblablement), Colette se prête volontiers au jeu du preux chevalier, tandis que sa sœur aînée se complaît dans la tenue de la princesse.
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